78 % des employeurs recommanderaient
le Certificat Voltaire, selon une enquête Ipsos
Le Certificat Voltaire est la référence pour les employeurs. Ils l’affirment dans un sondage Ipsos réalisé pour le Projet Voltaire et rendu public en octobre 2021. Selon les résultats de cette enquête, dès lors qu’ils connaissent une certification de niveau en langue française (hors français langue étrangère), les employeurs sont 88 % à citer spontanément le Certificat Voltaire. Par ailleurs, à profil égal, 70 % des recruteurs choisiront une personne disposant du Certificat Voltaire. La bonne maîtrise de la langue française est plus importante que celle de l’anglais pour une grande majorité d’employeurs.
La maîtrise du français,
au cœur des préoccupations des employeurs
Le sondage Ipsos pour le Projet Voltaire, mené auprès de 2 500 décideurs, révèle l’importance que les employeurs accordent à l’orthographe et à l’expression. Ils sont 86 % à considérer que la maîtrise de la langue française est une compétence importante… et 76 % à déplorer dans le même temps des lacunes au sein de leurs équipes.
Ils vont plus loin : pour 93 % d’entre eux, un salarié, une entreprise qui communique en faisant des fautes perd sa crédibilité et ne sera pas pris au sérieux par ses prospects et ses clients, au risque de perdre des contrats. Ils sont par ailleurs 77 % à penser que les lacunes en orthographe et en expression ont un effet négatif sur l’efficacité et la productivité en interne.
Enfin, 65 % des employeurs estiment que les performances financières peuvent souffrir des lacunes en expression de la part de leurs équipes. La qualité d’expression écrite et orale des salariés, loin d’être un critère dépassé et désuet, constitue donc plus que jamais une nécessité pour les entreprises.
Le Certificat Voltaire constitue à cet égard une garantie… au point que 78 % des employeurs le recommanderaient à des candidats, des étudiants ou des salariés.
Lors d’une embauche,
faire des fautes est rédhibitoire
Un candidat a tout intérêt à ne pas commettre de fautes dans son CV ni dans sa lettre de motivation. Mieux vaut par ailleurs qu’il use d’un français correct à l’oral. En effet, l’orthographe et la bonne qualité d’expression font partie des 5 principaux critères d’embauche des recruteurs, ces critères se classent même devant l’expérience professionnelle et la formation initiale.
À l’inverse, les difficultés à bien s’exprimer lors de l’entretien peuvent être rédhibitoires pour une embauche. Plus de 80 % des recruteurs écartent une candidature qui ne satisfait pas sur ces points. Par ailleurs, pour 85 % des employeurs, les lacunes à l’écrit et à l’oral constituent un obstacle important pour accorder une promotion. Maîtriser le français constitue donc une condition sine qua non pour évoluer plus facilement dans sa carrière professionnelle.
Enfin, répétons-le : le Certificat Voltaire est reconnu par les entreprises. Il atteste le niveau de français de son détenteur et peut faire la différence auprès d’un employeur. N’hésitez pas à vous certifier… ni à mobiliser votre CPF pour financer votre formation certifiante.
Le français, plus important que l’anglais pour les employeurs
Et qu’advient-il des candidats mauvais en anglais ? Contrairement à une idée très répandue, ils ne sont pas forcément évincés par les recruteurs… en tous les cas beaucoup moins systématiquement que les personnes qui s’expriment mal ou font des fautes de français.
Dans le premier cas, les candidatures sont écartées par 33 % des recruteurs, contre 73 % dans le second. Un chiffre de plus qui montre l’importance de se concentrer sur son niveau de français pour une personne en recherche d’emploi.
On peut noter par ailleurs que les responsables en ressources humaines pourraient également apporter davantage d’attention aux formations de remise à niveau en français*. Une majorité d’employeurs n’en ont jamais proposé à leurs salariés malgré l’étendue du problème rencontré.
* Hors FLE (français langue étrangère).
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